META NAME="Description" CONTENT="Appel des 30 Aethyrs de la Magie Hénokéenne">
 




- L'EXPLORATION DES 30 AETHYRS -
__________________________________________ par Kazim

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30 - Aethyr TEX –11/04/08                                          

En entrant dans l’Aethyr je ressens une énergie assez calme, bien qu’il semble y avoir du vent et comme un souffle, à la fois aérien et aqueux.
D’abord une plage ensoleillée, un faucon puis ange qui me prend par dessous le bras et me soulève, me montre la Terre vue de Haut. J’aperçois une couche blanche qui semble être la Surface éthérique de la Terre. L’Ange me dit qu’il sera mon guide dans l’Aethyr. J’ai des sensations d’énergies élémentales toujours en mouvement. Vision d’une gargouille, puis d’une sorcière assez vieille dont la tête semble coiffée de serpents blancs. L’Ange m’emmène ensuite dans une grotte, au centre de la Terre où d’énormes vers à la peau ocre et aux dents affutées se déplacent et me scrutent du regard. Nous ressortons de cet endroit inquiétant. J’aperçois un Nexus, une spirale énergétique de laquelle semble rentrer et émerger continuellement des vagues d’énergie lumineuse. Vision d’un grand dragon blanc qui tourne autour du Nexus.
Je me retrouve ensuite dans une maison en bord de plage. Une très belle femme blonde aux cheveux courts se tient sur la terrasse. Elle s’approche de moi et me dit qu’elle m’aidera à avoir la Vision. Lorsqu’elle s’approche je sens une forte montée de kundalini que j’essaye de faire circuler jusqu’au 3ème œil. La femme se sert contre moi. Ma perception devient alors terne et noire et dans l’obscurité un pentagramme inversé avec la tête du bouc se rapproche et emplit tout l’espace. J ’inverse alors machinalement le pentagramme, ne souhaitant pas nécessairement jouer avec le bouc pour ma première exploration.
Je ressors sur la plage. Là dans le Ciel, d’innombrables créatures ailés comme des anges ou des fées virevoltent et se déplacent dans une continuelle agitation. L’une d’entre elle me resoulève par les bras, m’emmenant dans les airs. J’ai une vision parfaite de la merkabah qui m’entoure. Dans le sceau de Salomon en 3 dimension apparaissent alors des pyramides. Je m’approche de la première. Il y a une gardienne avec une lance devant le chemin menant à la porte. Je luis dis que je suis un adorateur de Kephra, qu’Anubis m’a déjà auparavant ouvert les portes du Duat et que j’ai le Ka léger. La résistance énergétique qui barrait le chemin semble alors diminuer. Je rentre dans la pyramide. Au centre, une pièce sombre laisse entrevoir un sphinx. Je m’approche. Entre ses pattes, une pierre ambrée semble m’être destinée. Je la prends et la porte sur mon 3ème œil, je vois alors une grande clarté apparaître, je sais qu’elle m’aidera à avoir la Vision. Je ressors de la pyramide et recroise l'esprit féminin qui m’avait guidé dans l’aethyr. Elle me dit s’appeler Camilla. Je lui promets de revenir.

Cet aethyr semble marqué par une agitation élémentale et une multitude d’êtres correspondant aux couches énergétiques entourant la Terre.





29 - Aethyr RII –11/04/08                                 

Mon impression est que l’Aethyr se déroule de nuit. La première vision que j’ai est celle d’un tronc de bois émincé et ancien en haut d'une colline autours duquel est lové un grand serpent. Dans le tronc est enfoncée une épée étincelante qui se détache sur le fond noir du ciel.
Je m’approche. Le serpent s’adresse à moi avec une voix hypnotisante. " C’est une épée très ancienne " j'aperçois l’épée très nettement. Le serpent me dit que je peux essayer de la saisir, à mes risques et périls, alors je m'avance vers le tronc. Le serpent glisse du tronc et s'approche en rampant vers moi. Puis, à chaque fois que je fais un pas le tronc semble s’éloigner et le ciel s’assombrir et se teinter de pourpre. Apparaît alors dans les cieux le visage d’une homme barbu avec un casque qui pourrait ressembler à celui d' un Viking ou d' un Nain bâtisseur. Il me semble entendre dans l'éther comme dans une complainte tandis que résonnent les noms d'Odin et de Thor. Lorsque je m’approche à nouveau de l'épée, un coup de hache double frappe très violemment la Terre. L’image disparaît.

Je suis devant une bibliothèque ancienne avec un enfant. Je m’approche et essaye de saisir un livre sur lequel est gravé TAROAA, et le T est une épée.
Apparait ensuite, fendant l'éther, un aigle blanc qui m'invite à monter sur ses ailes. Tandis que nous voguons à présent dans les Airs, je vois au loin une femme immense, dont la forme emplit tout le Ciel et qui dégage une orée argentée et éclatante. Toute vêtue de bleue, son visage est calme et d’une blancheur azurée comme on retrouve dans certaines statues grecques. Je pense alors à la Grande Prêtresse du Tarot Thot.
Sur son visage apparaît le serpent et l'épée sur laquelle il vient s'enrouler. La déesse me demande ce que je fais ici. Je lui dis que je suis venu explorer l’Aethyr et que j’aimerais en savoir plus sur l’épée. Elle me répond que l’épée a été formée dans la montagne par les forgerons, qu'elle est issue du travail de ceux qui maitrisent le feu et habitent reclus dans des espaces isolés des hommes. Elle semble faite de nuages et remplir par sa présence tout l’espace du Ciel. Je pense alors à la Déesse Athéna. L’image disparaît à nouveau. 

Apparaît à présent un pharaon, les bras croisés, avec les sceptres dorés et les crosses qui se rencontrent. Cette image est fixe et toute d’or, et restera longtemps dans mon champs visuel. Puis une allée , qui ressemble à celle de la loge Ath Ka Ptah, puis un vautour qui vient se poser à côté de moi et me regarde dans les yeux, puis Anubis, que je salue, et un crocodile que j’identifie à Sobek : un temps un homme, un temps un crocodile, puis uniquement un crocodile, et enfin une tête de vache ou de taureau que j’identifie à Hathor. Je me sens alors tiré vers l’arrière. L’allée défile et les colonnes du temple s’éloignent. Je me retrouve devant l’entrée et sur le parvis se trouve une tête de taureau qui crache vers moi deux longues flammes. Je me visualise dans la merkabah et fait signe que je suis armé du Verbe, que mon Ka pur, et que j'ai la Volonté de voyager. Mais il est trop tard. L’Aethyr se referme.

Cet Aethyr avait une énergie très douce comparé à celui de TEX, la meilleure manière de décrire cette énergie serait sans doute la fraîcheur et le calme d’une nuit d’été.


28- Aethyr BAG –17/04/08                                        


A mon entrée dans l’Aethyr se forme un pentagramme et je sens une forte impression de chaleur comme si je me rapprochais du soleil. Puis une sorte de dragon passe devant moi. Ensuite une créature ailée avec un long cou qui regarde dans ma direction. J'aperçois alors une jeune femme se faire embarquer et emmener entre ses dents au large.
Je sens alors qu’il y a beaucoup d’agitations à côté et lorsque je regarde je suis entouré de créatures reptiliennes à la fois rampantes et volantes, très semblables aux anciens dinosaures. Je rencontre une nouvelle créature ailée, à la peau jaunâtre telle celle d'un ptérodactyle. Il me dit qu’il peut me servir de guide dans l’Aethyr, alors je le suis. Nous passons près d’un arc-en-ciel et la créature me souffle que c’est un passage entre les mondes, nous empruntons alors l’arc en ciel en le remontant. Là, j’aperçois un Dieu immense vêtu d’une longue tunique bleu roi et de filaments d’or. Il porte une longue barbe et de grands cheveux blancs. Il semble occupé à ce qui pourrait être l’organisation de la matière éthérique. La créature ailée se pose dans sa main. Je m’approche près de lui pour lui parler, il me dit qu’il gouverne la Terre, d’en haut. Je lui dis que je voudrais en apprendre plus sur l’Aethyr et cette relation qu’il entretient avec la Terre. Je crois comprendre que c’est un Dieu de la Tradition Nordique. Lorsque je demande son Nom je n’ai que le silence pour réponse.
Il me montre alors un Livre qui ressemble à un grimoire et lorsqu’il l’ouvre une sphère émeraude se détache, entourée par 2 anneaux perpendiculaires se croisant en son centre. Les anneaux sont dorés. C’est avec ceci qu’il gouverne la Terre. Je crois que ce symbole représente le Monde d’en bas. Alors une figure apparaît dans le ciel et me montre l’arc en ciel du doigt. L’Arc en ciel brille de plus en plus et m’éblouit tellement que toute impression visuelle disparait, comme absorbée par son rayonnement.
Je vois ensuite un veilleur, Anubis devant une pyramide. Je le salue, mon frère Dieu. Cette fois-ci il est à gauche du sentier menant à la pyramide. Il semble attendre quelque chose de moi. Sans rien dire. Alors je décide d’activer ma merkabah par visualisation et je procède à un court rituel astral en activant le mot clé Aloha et Komsenli (deux mots de pouvoir servant à passer le seuil). Je place aussi sur mon 3ème œil le diamant doré que j’ai reçu dans le 30ème Aethyr. Je demande tout haut qu'il me donne l'accès à la Vision et à la Voix et montre à Anubis que j’ai le Ka pur. Je peux désormais passer.

En entrant dans la pyramide, j'aperçois un corps éthérique en position de méditation. Autour de lui tout est noir mais lui resplendit d’une lumière dorée. Anubis me dit que cette vision c’est "moi à l’intérieur de moi". Je demande une explication. Il me dit que la pyramide est un nexus, que lorsque je fais la merkabah je me place au centre de la pyramide. Il m’invite à trouver mon centre et à le visualiser dans la pyramide. Je me vois alors telle une étoile. Nous passons dans un plan plus large, macrocosmique, et de la pyramide du macrocosme sort un faisceau d’une lumière blanche qui monte dans le ciel en direction de Sirius. Anubis me dit de monter par ce faisceau.

Je me visualise alors aller vers le haut et lorsque je rouvre les yeux je me trouve dans la voûte stellaire. Il y a une autre pyramide ici, mais de couleur argentée, et des vagues de couleur émeraude et bleu nuit semblent se mélanger en elle. Anubis me dit que le destin de la Terre se décide ici, parmi les étoiles. De toute part de la pyramide se dessinent d’étranges symboles en mouvement. Je comprends alors l’analogie entre la première vision et la 2ème. Anubis me dit que je suis un enfant de l’Aegypte et qu’il est normal que j’ai plus de facilité à me situer dans ces représentations.
Nous revenons devant l’entrée et je demande comment remercier Anubis. Il me dit de promettre de revenir. Je comprends qu’il parle de Sirius. Je sais ce que ça engage. Je lève alors le bras gauche, et pose ma main contre la sienne. Alors de l’union de nos 2 mains un K se met à étinceler très fort dans la Nuit. L'aethyr se referme.



27 - Aethyr ZAA –18/04/08                                         

A mon entrée, l’Aethyr semble assez sombre, il fait nuit. J'aperçois des formes noires et géométriques qui se construisent dans mon champs de vision, se mélangent et se défont, comme des branches d’arbres, et dansent. Je distingue parfois des visages moitié animaux moitié humains.
Puis j’aperçois une plaine au fond de laquelle se dresse un grand château noir d’onyx qui profile de longues tours pointues dirigées vers le haut. Je m’approche. Une allée d’arbres amène vers une imposante porte d’entrée à la fois sombre et fermée.
Autours de moi des ombres inquiétantes semblent se déplacer au loin.
J’essaye de progresser dans l’allée mais quelque chose me bloque, comme une barrière énergétique. Une gueule aux dents ascérées entre la hyène et le loup me repousse avec ses bras. Après avoir tenté plusieurs combinaisons géométriques pour passer je comprends que je ne pourrai pas entrer.
J’aperçois alors dans la brûme un autre château, qui se détache lui dans la lumièe du jour. Il est niché sur un pic montagneux entouré de vide, un pont de pierre arqué comme un acqueduc semble constituer l'unique chemin pour y accéder. J'ai le temps d'un flash la vision du Baphomet. Puis de la femme écarlate avec une faux et des bras qui se lèvent en l’air comme si elle allait procéder à une invocation.
Je me retrouve ensuite de nouveau dans la plaine. Là, j’aperçois une créature à la peau teintée de vert sombre et de noir. Sa tête est ocre foncé, son nez en museau, elle n’a pas de sourcils et ses yeux sont diformes. C’est un homme, il me dit qu’il se nomme Xotorg et qu’il est le fils du Gardien du Palais. Il m’explique qu’à l’intérieur de celui-ci vit le Père du Destin, que je ne pourrai passer par la porte mais qu’il éxiste une caverne souterraine menant à l’intérieur du château. Je lui demande une clé pour trouver la caverne et, lorsque j’essaye de prendre son bras, celui-ci se transforme en pierre et commence à disparaître.
Je laisse Xotorg ici sur cette vision étrange et décide de me mettre en chemin. Alors que j’approche d’une rivière, un crocodile sort de l’eau et ouvre grand sa machoire pour me mordre. J’avance mon bras.. et le vois disparaître dans sa gueule. Je décide de me laisser aspirer dans la bouche béante du crocodile. Trou Noir.
Lorsque la vision revient je me trouve dans une pièce aux murs de pierre. Il y a une faible lueur.. en levant la tête j'aperçois une corde par laquelle est suspendue par les pieds une femme nue. Elle est belle et possède des cheveux longs et sombres, et sa tête me fixe en regardant en bas.

" Je suis Yeyma. "

son entre-jambe se met à saigner..

 Elle se détache et me fais signe de la suivre, me dit qu’elle va m’ouvrir la voie vers le Père du Destin.. Commence alors une interminable descente par un escalier en colimaçon. A mesure que l’on descend Yeyma change d’apparence prenant parfois une forme plus bestiale ou portant sur la tête un crâne d’animal à la forme pointue. Au bout d’un long moment, se tournant vers moi elle me dit que c’est là et m’invite à descendre, puis elle me pousse dans le dos : je alors tombe dans le vide d'un noir qui semble sans fin. .. je rencontre une sorte de pellicule faite d’eau aqueuse et continue de m’enfoncer, en descendant toujours, jusqu’à passer une sorte de membrane. Devant moi le Père du Destin apparaît : un Oeil gigantesque prenant tout l’espace, il me dit :

 « Qui veut voir doit oublier. Ceci est le Destin. Oublie si tu veux voir. »

Alors il me lance un éclair et mon bras disparaît et à mesure qu’il disparaît je retombe dans le Vide, ce Vide semble se propager aussi en moi et prendre de plus en plus de place.

Alors je comprends qu’il parle de s’oublier soi-même pour avoir la Vision et laisser s’ouvrir son œil intérieur. Faire du Noir les impressions et se projeter dans le Silence.
L’Aethyr se referme.

Juste avant de commencer les banissements finissant l'exploration, j’ai un flash du baphomet puis une gueule de crocodile qui s’ouvre avec au-dedans un noir obscur et enfin une croix Ankh.

- Je décide d’utiliser le miroir et la croix ankh pour mes prochaines explorations.



25 Aethyr VTI – 25/04/08                                    
 
Sensation beaucoup plus marquée que dans les 2 Aethyrs précédents.

La première image que j’apperçois est celle du Baphomet, puis d’un aigle royal, majestueux, très net qui en m’appercevant pousse un cri et prend son envol vers moi. Ensuite apparaît la tête d’un éléphant décorée de perles. L’image est très lumineuses et les sensations que je vois font penser au vol d’un oiseau au dessus des montagnes. Le ciel est clair et dégagé. Je vois un temple sur le haut d’une d’entre elles, un temple d’un style japonais avec un mélange d’influences hindoues et chinoises comme il en existe au Vietnam avec de longs chapeaux aux coins recourbés. Je m’approche du temple et j’aperçois une femme, peu habillée, elle ressemble à une danseuse orientale. Puis apparaît une coupe dorée avec des rubis. L’image semble ne plus vouloir partir et la femme me dit que j’ai le choix de boire ou non. J’essaye de regarder dans la coupe, le liquide est brun pourpre mais peu épais et tourne.

Je revois l’aigle qui me dit que boire la coupe fait partie de l’Initiation.. Je bois.

Ma vue se trouble et je commence à tomber en arrière. C’est comme si j’étais allongé sur le dos et que je voyais les choses de dessous. J’entends alors une complainte lancinante dans une langue qui ressemble à celles parlées dans les pays de l’Est.
Des images passent dans mon champs de vision. L’œil dans le triangle au sommet du château ; encore, et encore. Une porte s’ouvre.

Puis je vois une plume tenue par un homme barbu qui écrit dans un livre très ancien.
Il me dit se nommer Yordogil. Il écrit d’une écriture rouge qui ressemble vraiment à du sang. Lorsque je lui demande de quoi il s’agit il me dit : cela ne te concerne pas, cela concerne la vie de quelqu’un d’autre. Il me dit : si tu veux savoir les formules, tu devras verser une goutte de tonsang. Quand je lui demande de quelles formules il parle, il me répond que je ne saurai qu’après avoir versé une goutte de sang. J’hésite ne sachant pas de quoi il s’agit. Il a tracé une croix sur une page, et la plume semble attendre ma réponse pour continuer.
Je lui réponds que je suis d’accord, qu’il me montre les formules et que je donnerai une goutte de sang ce soir dans mon livre. J’apperçois alors un cheval qui se hisse sur ses pattes puis un homme en armure et en casque devant moi. Je revois le cheval et le casque du guerrier. « il est le chevalier Noir » et ceci est son sceau. Je note le sceau. Et ceci est sa formule ISPEMOIL DIRANOM KOKAZ. Il est l’explorateur des forces souterraines et il te guidera dans ton parcours de la Nuit. L’image se noircit et pendant un instant je n’apperçois plus rien. Je revois alors un cygne très beau et un cheval.

Revient alors l’image de Baphomet. Je vois très clairement son visage. La chèvre parfois entourée du pentagramme inversé. Il lève bien les bras mais semble assis sur un trône.
Il me parle : " A présent je te délivre un terrible secret." Ses mains changent de position : sa main droite se baisse et à présent c’est sa main gauche qui est en l’air. Je pose mes mains contre les siennes. " comprends-tu ? Je ne suis qu’un mirroir de toi-même, les choses ont changé, ll faut que tu travailles sur cette main à présent (je comprends la droite). Tu devras faire ce signe.. "
Alors ma main gauche se fait enrouler d’un bandeau en parchemin sur lequel semble être écrites des formules : « tu ne peux les lire pour l’instant » puis le bandeau se transforme un bracelet d’argent et sur ma main droite vient s’enrouler un bracelet d’or.

 « celle-ci, la gauche, est YRPOIL (qui je l’apprendrai plus tard signifie Division en énochien) celle-ci, la droite, ZODNEMA » Il m'invite alors à poser mes deux poignets l’un contre l’autre et ) faire passer la main du dessus (la gauche) au dessous en gardant les poignets en contact « il faut que tu travailles avec les 2 voies ; tu feras une idôle pour moi et tu la placeras sur ton autel, je t’apprendrai les formules, à présent je vais, voici la manière d’écrire mon nom.  Tu poseras une goutte de sang ce soir à l’endroit indiqué sur le livre. » L’Aethyr semble se refermer.

J’insite et demande aux entités de voir autre chose, pour ma compréhension.
Alors je vois grand un mage avec un chapeau bleu nuit et une robe très ample, le visage fin et une longue barbe. Je pense à ‘Merlin’ . Puis me vient le mot ‘Abra’ et ‘Melin’ .
Et une voix dans l'aéther : « Vois -u ce cher Abramelin, c’est à lui qu’est relié ce livre que tu as vu. Lorsque tu auras enlevé ta peau tu pourras le voir autrement. »

L’Aethyr se referme.

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A noter que les 2 fois lors du rituel de l’hexagramme face à l’est au moment de charger le symbôle, le sigil de Nuit est tombé, à chaque fois sur le Sigilum Dei Aemeth.
Et, pendant le pranayama, j’ai eu la visite très nette d’un grand dragon vert, au fort rayonnement énergétique, qui m’a dit se nommer Nephtes.
Note très importante aussi que j’ai appris après : après avoir noté le nom Baphomet sur mon Livre des Ombres je me laisse aller à une séance d’écriture automatique.
Ayant fini je reconnais un visage, la bouche ouverte et comme des serpents sur la tête.
Or je verrai après dans les recherches sur le Baphomet http://www.templiers.net/symbolique/index.php?page=le-baphomet

 « Il n'est que de citer la tête de la Gorgone Méduse tranchée par Persée chez les Grecs, les têtes que les Celtes enlevaient à leurs ennemis morts, qu'on retrouve abondamment dans le cycle du Graal, celle de Brân enterrée dans la Colline blanche de Londres, la tête prophétique de Mimir chez les Nordiques, celles de Goliath, d'Humbada, de Curoi, etc.
Le rite de la décollation est lié à une double initiation : en sectionnant le chef d'un ennemi-initiateur, le vainqueur-néophyte captait à la fois le mana contenu dans la tête et sa puissance spirituelle, et abandonnait son enveloppe de chair à l'Esprit.
Le néophyte, par la récitation de formules et le jeu de scènes dramatisées, s'identifiait à la divinité, lui permettant d'opérer sa renaissance spirituelle en intime communion avec le divin. »


Notes sur Baphomet : Pour l’incontournable Gérard de Sède, il faut plutôt voir la traduction : "Teinturier de la lune" dans Bapheus Mété, et dans ce cas, nous explique Charpentier qui soutient lui aussi cette interprétation, il faudrait lire dans "in figuram baffometi" du frère Gaucerant (qui n’est autre que le sergent de Mont-Pezat):" à la manière des Teinturiers de la Lune", ce qui, en Alchimie, désigne le Grand-Oeuvre, la transformation de l’argent en or….
"Bapheus" peut se traduire par "teinturier" qui, dans la langue des alchimistes, signifie l'idée de fleurir, récolter, moissonner la "sève" vitale du feu spirituel.


24 Aethyr NIA – 02/05/08                                    

Pas énormément de sensations pour cet Aethyr, l’impression d’être tout le temps mis ‘hors’ ou d’avoir des barrières. Impressions de glaces/miroirs.

La première chose que je vois est une fille qui me prend par la main et qui me fait descendre par un escalier dans une immense galerie au bout de laquelle elle met positionne devant un miroir. Le mur est noir et le miroir fait largement ma taille de sorte que je peux me voir entièrement dedans. La fille : « tu peux te voir dedans ? » Je regarde bien et j’aperçois mon reflet à la surface, il semble disparaître parfois. Elle me dit que le miroir est une porte, qu’il faut que j’apprenne à dissocier mon corps pour progresser plus loin dans cet aethyr. Je fais un premier essai pour passer au travers du miroir, mon pied se colle contre la parroie. J’essaye d’oublier le miroir et me concentre sur ce que je sens apercevoir derrière c'est à dire un espace sombre. Je passe alors entièrement mais la distortion créée par le passage me ramène de l’autre côté, c’est comme si, quand je passais, le premier monde me rappelait à lui. Au troisième essai je m’imagine aspiré par la salle de l’autre côté : tout tourbillonne alors autours de moi et je sens qu’on me prend par la main. Je suis de nouveau dans une grande galerie, il ya un bal comme ceux q’on peut imaginer à Versailles. La femme qui me tient la main est habillée avec une longue robe à fleurs et un masque blanc. Elle m’emmène dans un nouveau hall. Je suis dans une galerie de plusieurs étages. Et dans un des murs est encastré ce que je prends être pour un roi. Il est gigantesque et la forme de sa tête est changeante, tantôt elle prend la forme d’un sanglier, tantôt d’un viking, .. il est habillé tout en rouge. Lorsque je demande à lui parler il prend ma voisine par la main, la porte à sa bouche et lui arrache la tête entre ses dents. Je me retrouve ensuite au-dehors, dans une vaste prairie. A part de l’herbe et quelques vallées il n’y a rien, pas un arbre, rien. J’ai l’impression d’être dans un faux endroit. Une voix me dit qu’il faut que je passe à travers le sol. Je retente alors le coup du miroir mais avec le sol ce coup-ci. Je suis projeté dans le Noir. Apparaît alors une silhouette féminine recouverte de tissus sombres et d’un casque avec deux pointes . Tout est sombre hormis un sceptre doré qu’elle tient avec une sorte de tête de lion stylisée. Elle me dit de passer. Derrière elle il y a un mur de montagnes bleutés et presque transparentes, je passe à travers elles avec difficulté. J’aperçois alors un tigre blanc et noir, tout est bleu et translucide : comme des parrois d’eau. Je me retrouve devant une porte. Au dessus d’elle un faucon d’or, les deux ailes ouvertes, et cette phrase du Liber Pennae Praenumbra qui me revient ‘ aider les adorateurs du faucon à voler’. Je fixe alors la statue et décroche une plume de ses ailes. Je sens alors des plumes pousser sur mes bras.


17 Aethyr TAN – 26/12/10

Elle est là, resplendissante à l’entrée de l’aethyr, son corps enveloppé dans une radiance lumineuse, elle porte sur la tête un némyss orné de 2 plumes qui encerclent un disque solaire. Majestueuse dans son habit de lumière, elle semble garder le passage, son visage et ses traits sont fins, sa peau dorée par le Soleil et ses cheveux noirs évoquent l’ancienne Egypte. Elle semble garder caché en son sein l’incommensurable mystère. Elle semble aux portes du temps, si bien qu’il me semble voir trois visages, d’hier aujourd’hui et demain, et les 2 chiens loups qui font brièvement apparition à ses côtés m’évoquent Hékate bien que je sais que ce ne soit pas elle. De longues ailes se déploient derrière son némyss et laissent parfois entrevoir à ses côtés d’immenses colonnes qui semblent relier la voute céleste à la terre. Aux côtés des colonnes j’aperçois 2 géants de glaise qui pourraient être des bâtisseurs, mais qui semblent aussi pouvoir détruire et dévorer les mondes.

Il y a à présent une baguette resplendissante dans l’aethyr bleu azuré. Sur laquelle sont attachés en croix 4 drapeaux, qui ressemblent à des drapeaux de prière tibétains. Des éclairs d’énergie foudroyante sortent en mouvement continue de la baguette et s’enroulent en spirale alors que la baguette semble actionnée par une main invisible. Il y à présent dans l’aethyr un flot continue d’énergie blanche qui se déploie de la baguette-swastika et s’enroule dans une forme spiralée. Le flot se rassemble à présent autours d’un heptagramme, comme dans l’Atout ‘l’Etoile’ du Tarot Thot.

La gardienne de l’Aethyr réapparait, les plumes de la justice qui ornaient son némyss forment à présent des cornes spiralées.
A ses côtés apparaissent alors 2 chevaux blancs (des émissaires de Pégase) qui se précipitent en galopant vers moi. Ils tirent un chariot, un véhicule solaire ressemblant au chariot de Surya tel qu’il est représenté dans certains temples hindous. Je monte dans le chariot qui m’emmène devant une allée bordée de colonnes en marbre, nous arrivons devant un château avec des portes en bois massives sur lesquelles sont sculptées des têtes de bélier. Je pense alors au Blé de Céres (voir l’appel du 14eme aethyr) et aux mystères de l’agriculture. Le chariot se métamorphose alors en charrue tirée par des bœufs dans un champ de blé. On me souffle que la vache est l’animal sacré de la déesse Hatoor et que les cornes qui ornaient le némyss sont son symbole, le disque est la barque solaire de Ra.

Un aigle blanc poussant un cri fend ensuite l’aethyr et se précipite sur moi bec ouvert, ses ailes incandescentes pourraient faire penser à un phœnix mais il arrive vers moi sous la forme d’un faucon.

L’aethyr se ferme sur une scène de couronnement de la famille royale de pharaon.
A la fin de l’aethyr je ressens comme une explosion solaire au niveau du plexus du cœur et la sensation d’être inondé dans un bain de lumière incandescente.
A la fermeture du cercle la lettre Samekh apparaît comme sculptée dans l’or devant moi.


Appel du 12ème Aethyr

Rituel d’une extrême tension énergétique, qui m’a fait me sentir sous pression à plusieurs reprises (du aussi au DXM) mais durant lequel j’ai eu l’impression de toucher au ‘core’ de moi-même. Des acouphènes durant tout le rituel comme si l'on faisait circuler de l'énergie sur un bol tibétain (une coupe) tout autours de moi en psalmodiant. Puis l’impression de plier le macrocosme, de ressentir l'entièreté de la grille énergétique de la terre. La sensation qu’on venait me chercher.
Vision très précise d’un cercle de moines tibétains faisant circuler l’énergie à haut spin.
Je les ressents comme des gardiens. Il y a eu une échange télépatique et des rires.
Le corps comme un outil. Une impression assez mécanique d’être une caisse de résonnance, à bord d’un cockpit et que certaines pratiques pouvaient activer un déploiement de l'énergie à haut spin. Sensation de cyclone. Visualisation de fibres de lumières parcourant tout le corps.
Appréhension de différents réseaux énergétiques.
Compréhension des changements énergétiques provoqués par différents mudras.

"Turn on" meant go within to activate your neural and genetic equipment. Become sensitive to the many and various levels of consciousness and the specific triggers that engage them. Drugs were one way to accomplish this end.

Me voir étoile dans un bras de la Galaxie Spirale, puis m'échappant de l'attraction centrifuge.

Je repense à : 'en contact d’un champ de gravité intense un électron peut se trouver simultanément à deux endroits de l’espace au même moment avant de changer d'orbite".

Je repense aussi à l'équilibre de la croix dans le cube de l'Abysse T.2 -

Dans la suite Babalon est invoquée afin de franchir le gardien Choronzon.
Babylone a vu le temps naître. Et Marduk, le Verbe, le Démiurge a sectionné Tiamat, le serpent primordial pour créer le Monde.



Appel du 10ème Aethyr

Samedi 6 décembre 00.0
Ai fait une invocation à Babalon et l’appel des 12ème puis 10ème Aethyr.
Bannissements préliminaires. Je sens une atmosphère très paisible, très calme, tout est lumineux. Pranayama ok malgré un sentiment de blocage au niveau du chakra de la gorge
Je commence l’appel du 12ème Aethyr. Une forte sensation de vent froid qui tourne autours de moi, la pression se fait sentir assez vite pourtant je ne sais pas d’où cela vient mais il me semble n’être pas dans les mots, sans doute est ce le fait de la fatigue. L’invocation d’il y a 2 jours ayant été très intense. j’étais vraiment en état de gnose et l’Aethyr est resté ouvert très longtemps. Là j’ai l’impression de ne pas être en phase et je sens la pression redescendre assez vite.  Je refais donc un deuxième appel. Pareil.
Je continue donc mon rituel avec la dédication et l’invocation à Babalon. Je dois dire que dans mes derniers travaux Babalon m’est apparue beaucoup plus sous son côté mystique et je n’ai pas senti ni dans l’invocation de jeudi ni dans celle de ce rituel la stryge mais plutôt une présence très aethérée et diffuse. et l’appel du 10ème Aethyr, pour finir. Mais je sens que ce n’était pas le moment et que quelquechose ferme les Aethyrs assez vite. J’eu quand même le temps de profiter un peu de la pression amorcée par le 10ème pour me mettre en méditation et rester en silence.


Suite à suivre...